von Bertrand Degott 25. Dans le brouillard et sous la pluie battante ils ont suivi la route entre les buis que savaient-ils jusqu’alors de la sente perdue ? l’avons-nous retrouvée depuis ? et maintenant qu’une voix nous appelle avec douceur, qui veut … Weiterlesen →

von Bertrand Degott 22. La nuit venue superpose aux cyprès dans la lueur de la lampe à pétrole ton visage et le mien, mon regard près du tien… parfois un papillon s’affole et pour finir se heurte à la paroi … Weiterlesen →

von Bertrand Degott 19. Peser l’intervalle entre deux cigales compter les pas jusqu’au genévrier écouter l’ombre, enlever ses sandales deviner sur sa feuille un olivier délivrer la tonnelle d’une vigne morte et creuser au pied du mur un trou pour … Weiterlesen →

von Bertrand Degott 16. Ivre de ciel et fragile à maint titre je viendrai comme un oiseau voleter et tout d’un coup m’écraser sur la vitre en trompe-l’œil de la réalité et j’aurai beau m’enivrer de pivoines trouver au chèvrefeuille … Weiterlesen →

von Bertrand Degott 13. Comme au fond ton jardin communiquait avec ma joie pour l’épanouir plus grande tu es venue disposer ton bouquet lentement, comme on prépare une offrande – le lourd lilas avait un peu rouillé la clématite oublié … Weiterlesen →

von Bertrand Degott 4. Le cerisier, dis-tu, mais tu l’observes et lentement le bourgeon passe en fleur – tu ne dis rien des fruits, tu te réserves d’autres mots pour parler de la douleur j’ai vu ça, le printemps les … Weiterlesen →

von Bertrand Degott Gainst death, and all oblivious enmity Shall you pace forth… Shakespeare, Sonnets, 55 à Jacques Réda 1. J’ai sur ma table un bouquet de pervenches qui commence à pâlir… on en trouvait à profusion dans la forêt … Weiterlesen →